MAIS SUE ELLEN TU AS BU!(Les ravages de l'alcool)
Grâce à leur personnel navigant les compagnies essaient de limiter la consommation excessive d'alcool à bord de leurs avions. Aujourd'hui, devant la recrudescence des incidents liés à la boisson, les règles sont draconiennes.
Bien sur l'équipage ou le personnel sol a le droit de refuser à bord tout passager qui lui semble en état d'ébriété. En effet, il est plus sage de refuser un passager ivre à l'embarquement que d'avoir à le gérer à 10 000m d'altitude.
De nos jours, dans la plupart des avions, les passagers n'ont plus le droit de consommer leur propre alcool, et celui ci a disparu des produits détaxés proposés à la vente. Pendant le vol, les PNC surveillent et font la police car croyez moi, certains petits malins utilisent toutes sortes de ruses bidons pour avoir à boire. Par exemple, il y a celui qui repère un compagnon de beuverie, moins imbibé afin qu'il s'occupe du ravitaillement, ou cet autre à qui vous venez de refuser le 5ème whisky et qui file vite dans un autre galley(office) tenter sa chance. Si il a du bol, il arrivera à soutirer une boisson alcoolisée à un de vos collègues avant que vous n'ayez eu le temps de prévenir ce dernier.
Et si malgré tout les PNC se retrouvent face à un blaireau bourré qui veut absolument ouvrir une porte en plein vol (oui oui ça peut arriver), les compagnies ont au programme de leur formation des méthodes de neutralisation digne du GIGN.
Pif, paf, boum, clac, en deux temps trois mouvements, ceinturé, attaché, menotté et j'veux plus t'entendre!
Cela peut paraître exagéré à certains, mais l'alcool peut faire bien des dégâts dans un avion.
Eh oui chers passagers, vous n'êtes pas dans votre milieu naturel. Trois ou quatre petits verres combinés à l'altitude, la fatigue, le stress du vol, la chaleur de la cabine et bien d'autres éléments peuvent vous faire passer votre vol à refaire la décoration des toilettes. Et croyez moi, 8 heures passées dans les chiottes d'un avion à rendre vos tripes vous laisse un souvenir impérissable de votre voyage (non non je ne parle pas en connaissance de cause)
Quand une gentille petite dame nous dit affolée,
- je ne sais pas ce que j'ai, je ne me sens pas bien, j'ai vomi
nos premières questions sont:
- Qu'avez vous mangé?
- Avez vous bu de l'alcool? (ou t'as caché ta bouteille sue Ellen?)
- Très peu, juste un apéritif, la petite bouteille de vin et un digestif après le repas (hic, j'ai pas bucup bu)
Mais chers clients, parfois ce peu peut suffire à vous faire regarder votre reflet dans le fond de la cuvette.
Et puis, naturellement, il y a ceux avec qui ça dégénère. Je ne vous apprends rien si je vous dit que l'alcool suscite aussi des comportements très violents. Et là, les passagers boivent et les PNC trinquent.
Bien sur l'équipage ou le personnel sol a le droit de refuser à bord tout passager qui lui semble en état d'ébriété. En effet, il est plus sage de refuser un passager ivre à l'embarquement que d'avoir à le gérer à 10 000m d'altitude.
De nos jours, dans la plupart des avions, les passagers n'ont plus le droit de consommer leur propre alcool, et celui ci a disparu des produits détaxés proposés à la vente. Pendant le vol, les PNC surveillent et font la police car croyez moi, certains petits malins utilisent toutes sortes de ruses bidons pour avoir à boire. Par exemple, il y a celui qui repère un compagnon de beuverie, moins imbibé afin qu'il s'occupe du ravitaillement, ou cet autre à qui vous venez de refuser le 5ème whisky et qui file vite dans un autre galley(office) tenter sa chance. Si il a du bol, il arrivera à soutirer une boisson alcoolisée à un de vos collègues avant que vous n'ayez eu le temps de prévenir ce dernier.
Et si malgré tout les PNC se retrouvent face à un blaireau bourré qui veut absolument ouvrir une porte en plein vol (oui oui ça peut arriver), les compagnies ont au programme de leur formation des méthodes de neutralisation digne du GIGN.
Pif, paf, boum, clac, en deux temps trois mouvements, ceinturé, attaché, menotté et j'veux plus t'entendre!
Cela peut paraître exagéré à certains, mais l'alcool peut faire bien des dégâts dans un avion.
Eh oui chers passagers, vous n'êtes pas dans votre milieu naturel. Trois ou quatre petits verres combinés à l'altitude, la fatigue, le stress du vol, la chaleur de la cabine et bien d'autres éléments peuvent vous faire passer votre vol à refaire la décoration des toilettes. Et croyez moi, 8 heures passées dans les chiottes d'un avion à rendre vos tripes vous laisse un souvenir impérissable de votre voyage (non non je ne parle pas en connaissance de cause)
Quand une gentille petite dame nous dit affolée,
- je ne sais pas ce que j'ai, je ne me sens pas bien, j'ai vomi
nos premières questions sont:
- Qu'avez vous mangé?
- Avez vous bu de l'alcool? (ou t'as caché ta bouteille sue Ellen?)
- Très peu, juste un apéritif, la petite bouteille de vin et un digestif après le repas (hic, j'ai pas bucup bu)
Mais chers clients, parfois ce peu peut suffire à vous faire regarder votre reflet dans le fond de la cuvette.
Et puis, naturellement, il y a ceux avec qui ça dégénère. Je ne vous apprends rien si je vous dit que l'alcool suscite aussi des comportements très violents. Et là, les passagers boivent et les PNC trinquent.